Article L'indépendant 3 eme biennale d'art postal Ille sur Tet
atelier galerie (13) TREIZE André Robèr
atelier galerie (13) TREIZE André Robèr

Exposition Jean Vodaine septembre 2014
http://www.lindependant.fr/2014/09/15/jean-vodaine-une-aubaine-pour-la-galerie-treize,1929478.php
Exposition de gravures et de documents de Louis Arti et André Robèr à voir jusqu'au 20 septembre.
L'exposition de gravures et de documents que proposent à la galerie Treize Louis Arti et André Robèr, est le fruit d'une belle rencontre entre Louis Arti et Jean Vodaine. "Lors de mon passage à l'Olympia en 1983, j'avais choisi un poème de Jean Vodaine, le Blues du chien. On s'était connu en Lorraine, je menais ma carrière, lui continuait sa vie artistique" explique Louis Arti, auteur-compositeur-interprète, pour résumer cette rencontre.Jean Vodaine, qui lui a légué cette collection de gravures, savait qu'il la laissait en de bonnes mains. Une aubaine pour les Illois, qui vont pouvoir visiter cette exposition jusqu'au 20 septembre.
Jean Vodaine, qui se nomme en réalité Frédéric Vladimir Kaucic, est un poète, éditeur, peintre, graveur et typographe. Un artiste atypique, proche des petites gens, mais aussi de ceux que la lumière a choisi d'éclairer : Henry Miller, Ben, Gaston Chaissac, Veno Pilon, Jean L'Anselme, Franz Hellens, Joseph Delteil, Dubuffet, Queneau, Jules Mougin, Jakovsky, etc. "C'est un artiste qui venait du monde ouvrier, un homme qui vivait avec tout le monde. S'il avait vécu ici, il aurait fait des livres avec André Robèr" souligne Louis Arti.
Son nom reste éternellement attaché à l'expérience de Dire, une revue typographique et poétique qu'il avait lancée en 1962, avec Edmond Dune et Adrien Printz. Malgré un tirage limité, cette revue avait vu glisser les plumes de Léopold Sédar Senghor, Ernest Hemingway, Allen Ginsberg, Henry Miller. Jean Vodaine avait acquis, lui le petit éditeur, une reconnaissance internationale. Il fut le premier français couronné par le prix allemand de typographie Victor Otto Stomps (Musée Gutenberg).
C'est un peu de tout cela qu'il était question, à l'occasion du vernissage de l'exposition, en présence de Claude Massé, dont l'œuvre a croisé celle de Jean Vodaine. Un vernissage clos par Louis Arti, accompagné à la guitare par Michel Gaudioso, qui a interprété le Blues du chien. Un avant-goût du concert qu'il donnera le 20 septembre prochain, à 20 h 30 à la galerie Treize.
- L'exposition est ouverte à la galerie Treize, 13, rue Sainte-Croix, jusqu'au 20 septembre, les mercredis et vendredis, de 10 h à 12 h et de 15 h à 18 h. Et sur rendez-vous au 06 78 28 66 17.
Exposition Emile Fondecave Aout 2014
Entretien
Biennale d'art postal 2014
http://metbarran.canalblog.com/archives/2014/07/15/30252602.html
Bakounine à Ille-sur-Tet
Connaissez-vous la Galerie (13) Treize? Une galerie pas tout à fait comme les autres, fille d'une bibliothèque et d'une maison d'éditions. Elle se trouve dans les Pyrénées-Orientales, à Ille sur Têt que traverse une rivière aux humeurs parfois vagabondes qui descend du Canigou, le Prince blanc de la région. Ille- sur- têt, ville de poètes et de musiciens méritait le chiffre (13) Treize. La galerie est connue, entre autres, pour l'organisation en 2012 d'une remarquable "I ere Biennale d'art postal". Nombreux participants, envois originaux, fréquentation au-dessus de toute espérance. Les résidents de l'étroite, longue et belle rue Sainte Croix, où se trouve la galerie n'en revenaient pas de toutes les visites qui lui étaient faites. Le succès sera (certainement) battu cette année avec l'inauguration ce vendredi 18 juilletde la "2ème Biennale d'art postal" sur le thème "Et toi c'est quoi ton utopie" en forme d'hommage à un certain Michel Bakounine (1814-1876), dont on célèbre ainsi le bicentenaire de la naissance. D'après ce que l'on peut d'ores et déjà consulter sur le site de la galerie et les indiscrétions faites parAndré Robèr, écrivain, plasticien, éditeur, maître des lieux, et organisateur de la manifestation la mémoire de Bakounine a été un puissant stimulateur créatif, mobilisant par-dessus les frontières géographiques et idéologiques. Connaissez-vous Bakounine? A ceux et celles qui le connaissent et à celles et ceux qui ne le connaissent pas, la Biennale apportera des motifs visuels, lettrés et picturaux de tenir bon sans espérer le toc- toc, je suis là- d'un môssieu messie.
Petite Rêve Aulucyion
"2ème Biennale d'art postal". Vendredi 18 juillet à 18 h 30. 13 rue Sainte Croix 66 130 Ille-sur-Tet. L'exposition restera ouverte du 16 juillet au 20 août tous les mercredis et vendredis et sur RDV de 10 h à 12 h et de 15 h à 18 h (jours de marché" (comme le précise le carton d'invitation).
Exposition Teneze/Rober/Zunino
Exposition Teneze/Robèr/Zunino Avril mai 2014
La presse en parle
Le club photo Illois
Exposition Uwe Harreck
Exposition Teneze/Robèr/Zunino Avril mai 2014
14 juillet 2013 L'independant
http://www.lindependant.fr/2013/06/08/le-club-photo-expose-a-la-galerie-treize,1762590.php
Le Club photo expose à la Galerie Treize
Le 08 juin à 6h00

Ille-sur-Têt Olry et Robèr se lâchent à la galerie Treize
Le 21 avril à 6h00

http://www.lindependant.fr/2013/04/21/olry-et-rober-se-lachent-a-la-galerie-treize,1747731.php
Ille-sur-Têt Christiane Fath se dévoile
Le 27 mars
Christiane Fath dévoile les secrets de ses œuvres. Christiane Fath dévoile les secrets de ses œuvres.
C'est une artiste atypique qui expose jusqu'au 5 avril, dans le cadre de la Galerie Treize. Plasticienne multiforme, Christiane Fath inscrit son œuvre dans les événements de sa vie. "C'est la suite de migrations familiales" souligne-t-elle. Une vision singulière du monde, qu'elle offre dans les transparences et les plis de ces tissus ménagers, trempés à l'encre de ses émotions intérieures. "Ce sont des toiles de ménages achetées sur les marchés, expliue-t-elle. J'ai commencé à faire des grands formats sans châssis. J'ai travaillé sur des tissus familiaux dans lesquels, au moment de leurs départs, les femmes ont l'habitude de rouler ce qu'elles ont de plus précieux. C'est un réflexe de survie et de protection. C'est une recherche de mes origines et une recherche sur la peinture". "Maillage Text'Iles" est le thème de cette exposition proposant un cheminement, où l'on se retrouve aux carrefours des cultures, mais où l'on retrouve toujours un peu de soi, dans un métissage d'émotions, de matériaux, de couleurs. Effet sensoriel garanti. C'est beau. C'est léger. C'est fort. Le vernissage aura lieu vendredi 29 mars. A partir de 17 h Christiane Fath invitera les visiteurs à une performance intitulée "Vos papiers". Ce n'est pas un contrôle de police, mais un moyen d'expression, où l'artiste excelle, et où le public répond toujours ; à 18 h, dans le cadre du "Printemps des poètes", les deux complices, André Robér et Didier Manyach feront une lecture et Ivan Maynard assurera une prestation musicale. A voir 13 rue Sainte-Croix, du mardi au dimanche, de 14 h 30 à 18 h.
http://www.lindependant.fr/pyrenees-orientales/ille-sur-tet/
Le 27 mars
Christiane Fath dévoile les secrets de ses œuvres. Christiane Fath dévoile les secrets de ses œuvres.
C'est une artiste atypique qui expose jusqu'au 5 avril, dans le cadre de la Galerie Treize. Plasticienne multiforme, Christiane Fath inscrit son œuvre dans les événements de sa vie. "C'est la suite de migrations familiales" souligne-t-elle. Une vision singulière du monde, qu'elle offre dans les transparences et les plis de ces tissus ménagers, trempés à l'encre de ses émotions intérieures. "Ce sont des toiles de ménages achetées sur les marchés, expliue-t-elle. J'ai commencé à faire des grands formats sans châssis. J'ai travaillé sur des tissus familiaux dans lesquels, au moment de leurs départs, les femmes ont l'habitude de rouler ce qu'elles ont de plus précieux. C'est un réflexe de survie et de protection. C'est une recherche de mes origines et une recherche sur la peinture". "Maillage Text'Iles" est le thème de cette exposition proposant un cheminement, où l'on se retrouve aux carrefours des cultures, mais où l'on retrouve toujours un peu de soi, dans un métissage d'émotions, de matériaux, de couleurs. Effet sensoriel garanti. C'est beau. C'est léger. C'est fort. Le vernissage aura lieu vendredi 29 mars. A partir de 17 h Christiane Fath invitera les visiteurs à une performance intitulée "Vos papiers". Ce n'est pas un contrôle de police, mais un moyen d'expression, où l'artiste excelle, et où le public répond toujours ; à 18 h, dans le cadre du "Printemps des poètes", les deux complices, André Robér et Didier Manyach feront une lecture et Ivan Maynard assurera une prestation musicale. A voir 13 rue Sainte-Croix, du mardi au dimanche, de 14 h 30 à 18 h.
http://www.lindependant.fr/pyrenees-orientales/ille-sur-tet/
Articles de l'indépendant ce dimanche 3 mars 2012
Ille-sur-Têt Jean-Luc Février, un artiste atypique à découvrir
Jusqu'au 10 mars, Jean-Luc Février expose ses tableaux à la galerie Treize, lieu qui a pris une dimension culturelle dépassant largement le cadre de la commune. Le vernissage consacrée à l'artiste pradéen Jean-Luc Février a pris une dimension musicale et littéraire, avec la présence de Loïc Robinot, auteur-compositeur interprète, écrivain et photographe, présentant ses ouvrages : "Sur ma route, un certain... Georges Brassens", "Song'eur" et "Horizons Canigó". Jean-Luc Février jouait avec les mots pour présenter cette soirée : "Je suis poursuivi par le treize". Et c'est tellement vrai pour une expo qui durera treize jours à la galerie, rue Saint-Croix, dans le fief du rugby à XIII. Cet ancien architecte, qui a longtemps vécu à Rueil-Malmaison, s'est posé à Prades en 2004 pour mieux assouvir sa passion de la peinture. Un travail qui interpelle et s'explique par le parcours de Jean-Luc Février : "Je suis parti de l'abstraction lyrique de Georges Mathieu et j'ai rencontré Joan Miro". Une rencontre qui a visiblement marqué l'artiste qui en garde un souvenir ému. "Avec ses yeux il traverse le béton, souligne-t-il avant un long silence et l'émotion à fleur de peau. Il n'y a presque plus de graphisme dans mon travail. Le tableau me guide de plus en plus. J'aime bien qu'il se passe quelque chose sur la peinture. Par exemple, je laisse tomber la pluie sur un tableau. Des réactions chimiques se font et j'en suis heureux". Heureux aussi le public qui s'est pressé nombreux à ce vernissage, pris dans l'émotion musicale, le vécu de Loïc Robinot et le talent de Jean-Luc Février, artiste atypique, capable de grimper le Canigou en courant et de s'émouvoir à la seule évocation de Joan Miro. A voir du mardi au dimanche, de 14 h 30 à 18 h.
http://www.lindependant.fr/2013/03/03/jean-luc-fevrier-un-artiste-atypique-a-decouvrir,1732530.php
jeudi
27 septembre 2012
27 septembre 2012
Le 27/09/2012 à 06h00

Hélène Coré, André Robèr, Sophy Rotbart et les balluchons.
ILLE-SUR-TET
La galerie Treize est devenue pour quelques jours, l'espace d'une errance conçue et voulue par deux plasticiennes, Hélène Coré et Sophy Rotbard, venues de l'île de la Réunion créer des installations chez André Robér. Des installations qui sont autant de débats, travelling sur la situation des femmes et leur place dans ce monde. Un road movie, un nomadisme artistique, un questionnement, symbolisé par ce balluchon, véritable caricature de ces fuites en avant, qui font l'histoire de ces exodes massifs des années Sépia jusqu'à ce ressac continu des Roms, dont personne ne veut...
Un travail sur les Roms sous forme de triptyque itinérant, qui interpelle, avec des photos de Sophie Rotbard et des peintures d'Hélène Coré et ces balluchons qui jonchent le sol, et expliquent : "Ça part d'une performance en 2010. On est parties sur une route abandonnée. On a revêtu la combinaison des femmes Roms. Nous étions étonnées que personne ne réagisse aux expulsions". La femme est au coeur de cette exposition dans "Taille 36", "Telenovelas" sur des textes de Léa Varon, "La robe de Pandialé", "Elles". La femme et son pouvoir de séduction, son enfermement et les étiquettes qu'on lui colle.
Tout est dit dans cette exposition, qui n'est pas née d'un claquement de doigts, mais d'une longue réflexion de deux artistes atypiques, dans le grand miroir de l'Océan indien.
La galerie Treize est devenue pour quelques jours, l'espace d'une errance conçue et voulue par deux plasticiennes, Hélène Coré et Sophy Rotbard, venues de l'île de la Réunion créer des installations chez André Robér. Des installations qui sont autant de débats, travelling sur la situation des femmes et leur place dans ce monde. Un road movie, un nomadisme artistique, un questionnement, symbolisé par ce balluchon, véritable caricature de ces fuites en avant, qui font l'histoire de ces exodes massifs des années Sépia jusqu'à ce ressac continu des Roms, dont personne ne veut...
Un travail sur les Roms sous forme de triptyque itinérant, qui interpelle, avec des photos de Sophie Rotbard et des peintures d'Hélène Coré et ces balluchons qui jonchent le sol, et expliquent : "Ça part d'une performance en 2010. On est parties sur une route abandonnée. On a revêtu la combinaison des femmes Roms. Nous étions étonnées que personne ne réagisse aux expulsions". La femme est au coeur de cette exposition dans "Taille 36", "Telenovelas" sur des textes de Léa Varon, "La robe de Pandialé", "Elles". La femme et son pouvoir de séduction, son enfermement et les étiquettes qu'on lui colle.
Tout est dit dans cette exposition, qui n'est pas née d'un claquement de doigts, mais d'une longue réflexion de deux artistes atypiques, dans le grand miroir de l'Océan indien.

http://www.inforeunion.net/babou/L-d-ile-a-Ille_a4.html
"L" d'île à Ille.
Rédigé le Mardi 25 Septembre 2012 à 15:05 | Lu 12 fois | 0 commentaire(s)
Hélène Coré et Sophy Rotbard, deux figures importantes de l'art contemporain à La Réunion, sont à Ille sur Tèt. Elles installent leurs ballots de l'errance, chez André Robèr, à la galerie 13, rue Sainte-Croix. "L" s'expose, "L" se montre. Le binôme nous interpelle sur la femme, sublimée, et paradoxalement blessée, sur la femme à l'avant-garde de toutes les révoltes.
Doit-on encore présenter Hélène Coré et Sophy Rotbard ? Deux
artistes de l'art contemporain réunionnais incontournables, qui j'en
suis heureux, figurent dans mes petits carnets. Je crois un jour, avoir
griffonné quelque part "sensibles, talentueuses, novatrices". Et puis,
je l'avoue aussi, ce sont deux personnes que j'ai le plaisir de côtoyer
à Art Sénik, lieu d'expérimentation par excellence. Saint-Leu la Ravine
des Sables , pour ceux qui n'ont pas eu la chance d'y mettre les doigts
de pied.
Lors de mon dernier passage à La Réunion, elles achevaient d'expérimenter leurs installations pour la galerie de maître Robèr. Ce fut une découverte tout en frou frou revendicatif. D'île à Ille, "L" questionne un vaste sujet. La Femme. Femme matrice, femme nourricière, femme sage, femme opprimée, femme révoltée, femme première marronne de l'humanité.
Lors de mon dernier passage à La Réunion, elles achevaient d'expérimenter leurs installations pour la galerie de maître Robèr. Ce fut une découverte tout en frou frou revendicatif. D'île à Ille, "L" questionne un vaste sujet. La Femme. Femme matrice, femme nourricière, femme sage, femme opprimée, femme révoltée, femme première marronne de l'humanité.
Barbie voilée, barbie botoxisée. Barbie soumise au miroir charmant
de la société consumériste. Barbie aliénée par une norme esthétique
purement misogyne. Hélène Corré et Sophy Rotbard ne font pas l'impasse.
"L" s'expose dans toutes les coutures. Robe de papier pour danser le
maloya de Pandialé. Robe de goni pour ramasser les maux de la langue
mère. Robe de fer pour la prolixe poésie publicitaire. On entre dans
l'univers de la femme rêvée, fantasmée. Celle-là comme à la télé. Belle
en tout point, prête à se faire croquer. Ou celle-là, martyrisée par la
méchanceté des hommes. On consomme du rêve, voilà tout. Tenez ! pile à
18h25, madame payet regarde sa novelas préférée. C'est encore une fille
de rien qui devient une fille de biens. Elle n'a pas la voix de Susan
Boyle, mais elle dispose d'atouts parlants, très parlants. à cette heure
fatidique, une bonne partie de La Réunion retient son souffle, hommes y
compris (oui, oui, il y en a. Qu'ils se dénoncent). Ils vivent un rêve
fort improbable. Une fille de misère imagine une vie meilleure. Et alors
! "L" peut bien rêver.
Et puis chut ! pourquoi tout dire. Que les chanceux découvrent l'ensemble des installations, photographies, peinture et vidéo. et puis, rien n'empêche les programmateurs réunionnais d'ouvrir leur plus beau salon.
Et puis chut ! pourquoi tout dire. Que les chanceux découvrent l'ensemble des installations, photographies, peinture et vidéo. et puis, rien n'empêche les programmateurs réunionnais d'ouvrir leur plus beau salon.
Pour l'heure, "L" se dévoile à la galerie 13 jusqu'au 28 septembre 2012
13 rue Sainte-Croix
66130 Ille s/Tèt
près de Perpignan
du mardi au dimanche
de 14h30 à 18h
13 rue Sainte-Croix
66130 Ille s/Tèt
près de Perpignan
du mardi au dimanche
de 14h30 à 18h
http://www.inforeunion.net/babou/L-d-ile-a-Ille_a4.html

Henri BESTEL 15 AOUT 2012

Le 30/05/2012 à 06h00

Les membres du Photo club qui ont participé à l'exposition.
ILLE-SUR-TET La galerie Treize, expose jusqu'au samedi 16 juin le travail du Photo club autour du poète Catalan.
Soixante-neuf photos y sont exposées, sur des thèmes qui touchent à l'oeuvre de Pons, à ces lieux qui l'ont inspiré, à sa poésie. "Cette exposition représente quelques mois d'activité. Depuis septembre 2011 nous travaillons sur ce 50e anniversaire. Nous donnons notre point de vue sur ce poète, sur des poèmes choisis et ceux qui n'ont pas été inspirés par la muse inspiratrice de Pons, ont abordé d'autres thèmes" expliquait le président du Photo club Illois Gorgio Bédani à l'occasion du vernissage.
Le résultat est intéressant et souligne au travers de ce support iconographique toute la sensibilité de l'oeuvre ponsienne, sur les thèmes forts que sont la nature, l'eau, les fontaines, la pierre séculaire des ermitages.
Un vrai travail de recherche qui s'appuie sur le savoir-faire des photographes Illois, qui bénéficient des conseils des photographes professionnels que sont Alex Abdoun, Emile Fondecave et Yann Kerveno.
Le 18/05/2012 à 06h00

André Robèr et ses oeuvres.
ILLE-SUR-TET Cette fois c'est le maître de céans André Robèr, qui a accroché ses derniers travaux sur le thème Peintures et sacrifices, à la Galerie Treize. Un travail qui interpelle, celui d'un artiste atypique, un artiste à message, d'une grande sensibilité.
Un travail de poésie visuelle, où la littérature s'invite, avec ce K qui est le K de créole, ce noir qui domine dans le travail d'André Robèr. "Ce noir que j'aime parce que ce sont les couleurs de l'anarchie et parce que c'est une très belle couleur", souligne l'artiste pour expliquer sa propension à noircir le tableau. Comme avec ce bitume qu'il façonne en aplats et reliefs et où il colle ses livres. L'écrit ainsi figé, forme une deuxième couche. L'oeuvre littéraire trouve une deuxième vie. Chez André Robèr tout est questionnement, chacun doit trouver son passage dans le labyrinthe qu'il propose, mais le message est clair : "Le noir, le bitume, c'est la matière première des émigrés dont je fais partie".
L'exposition est ouverte jusqu'à dimanche mais accueille samedi, à 20 h 30, Louis Arti, et ses Trois Neveux, pour une lecture théâtrale El Halia, un livret qu'il a écrit et qui a été monté en 1995 pour la Cie Jean-Louis Hourdin. Dans le mouvement, Christian, Charley et Michel Gaudioso, interprétera Louis Arti.
Ille-sur-Têt

Chantal Tomas expose, dessins, pastels, photos et modelages accompagnés de textes, jusqu'au 29 avril, dans le cadre de la galerie Treize, rue Sainte-Croix. Une surprenante exposition qui porte beau le drap, où l'artiste illoise dévoile à "giorno" une part de son intimité. "Draps froissés", c'est un peu l'histoire de chacun d'entre nous, c'est aussi l'histoire d'une vie, tellement les draps l'accompagnent. Chantal Tomas a osé.
Elle a surtout osé lâcher ses sculptures pour le dessin. "J'ai toujours dessiné. Je l'avais mis en veilleuse pour la sculpture. Je suis contente d'avoir repris, car des choses me reviennent". L'artiste y a ajouté un autre de ses talents, la photo. Ses modelages sont accompagnés de textes. Et l'équilibre est parfait, car l'artiste ne masque pas ses émotions et reste fidèle à ses principes et à tout ce qui touche à l'humain, à la vie. "Depuis toujours je vis en équilibre entre la vie réelle et l'imaginaire". Alors pourquoi les draps ? "Toute notre vie nous sommes en contact avec les tissus, c'est notre seconde peau", explique Chantal Tomas, qui a douté au moment de mettre en place son exposition. "Les questions que je me posais, qu'est-ce qui va ressortir de ces travaux ? Qu'elles vont être les réactions ? Il y avait un enjeu, mais une fois l'exposition montée, je me suis sentie rassurée".
http://www.lindependant.fr/2012/04/20/les-draps-froisses-de-chantal-tomas,132415.php
Ille-sur-Têt
Le 20/04/2012 à 06h00

Chantal Tomas expose à la galerie Treize.
ILLE-SUR-TET Chantal Tomas expose, dessins, pastels, photos et modelages accompagnés de textes, jusqu'au 29 avril, dans le cadre de la galerie Treize, rue Sainte-Croix. Une surprenante exposition qui porte beau le drap, où l'artiste illoise dévoile à "giorno" une part de son intimité. "Draps froissés", c'est un peu l'histoire de chacun d'entre nous, c'est aussi l'histoire d'une vie, tellement les draps l'accompagnent. Chantal Tomas a osé.
Elle a surtout osé lâcher ses sculptures pour le dessin. "J'ai toujours dessiné. Je l'avais mis en veilleuse pour la sculpture. Je suis contente d'avoir repris, car des choses me reviennent". L'artiste y a ajouté un autre de ses talents, la photo. Ses modelages sont accompagnés de textes. Et l'équilibre est parfait, car l'artiste ne masque pas ses émotions et reste fidèle à ses principes et à tout ce qui touche à l'humain, à la vie. "Depuis toujours je vis en équilibre entre la vie réelle et l'imaginaire". Alors pourquoi les draps ? "Toute notre vie nous sommes en contact avec les tissus, c'est notre seconde peau", explique Chantal Tomas, qui a douté au moment de mettre en place son exposition. "Les questions que je me posais, qu'est-ce qui va ressortir de ces travaux ? Qu'elles vont être les réactions ? Il y avait un enjeu, mais une fois l'exposition montée, je me suis sentie rassurée".
http://www.lindependant.fr/2012/04/20/les-draps-froisses-de-chantal-tomas,132415.php
Ille-sur-Têt
La galerie "Treize" joue collectif
Le 12/12/2011 à 06h00

Les artistes qui exposent jusqu'au 4 janvier.
ILLE-SUR-TET La galerie atelier Treize, rue Sainte-Croix, a fait une nouvelle fois le plein d'échanges, d'émotions, de découvertes, à l'occasion du vernissage de l'exposition collective, à laquelle André Robèr avait invité à ses côtés Chantal Thomas (sculptures), Henri Bestel, Gilles Olry et Uwe Harrek (peintures).
"C'est la première exposition collective de la galerie, c'est une manière d'annoncer la saison. Chantal Tomas exposera ici au mois de mars, Uwe Harrek sera aussi présent en 2012, tout comme Henri Bestel", souligne André Robér. Des artistes du cru, puisqu'aux Illois Chantal Tomas, André Bestel et André Robèr, s'ajoute Gilles Olry de Corbère.
"Tout fonctionne à l'affectif, Henri avait déjà exposé ici, avec Chantal on est dans le même registre, on travaille sur les corps, Gilles, mine de rien est aussi un figuratif, Uwe est un artiste allemand qui vit à Eus» explique André Robèr.
Un vernissage auquel s'étaient joints les élus locaux Janine Ponsaillé, Georgette Ville, Jérôme Parilla, les amis, tel que l'écrivain et artiste Didier Manyach.
L'exposition est ouverte jusqu'au 4 janvier, du mardi au dimanche, au 13 rue Sainte-Croix, de 14 h à 18 h, fermée les 25 décembre et 1er janvier, ou sur rendez-vous : 04 68 57 64 39 http://treize-galerie.blogspot.com
L'indépendant Mardi 16 Aout 2011
Mardi 16 Aout 2011
Henri Bestel expose à la galerie Treize

Le travail d'Henri Bestel ne manque pas d'intérêt.
ILLE-SUR-TET
L'atelier-galerie Treize, expose jusqu'au 20 août les peintures d'Henri Bestel. Un travail à la croisée du surréalisme, dans les ressacs de l'inconscient et de l'onirisme.
Il y a deux ans, Henri Bestel, ancien principal de collège, était victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC). Depuis dix ans il n'avait plus touché un pinceau, en raison de l'état de santé de son épouse. Un AVC qui a eu un comme un effet de catharsis et qui a poussé cet artiste, installé à Ille-sur-Têt, une nouvelle fois devant son chevalet : "Ça m'a donné un regain d'activité, plus d'acuité, de visibilité ."
Une oeuvre qui s'inspire du travail de Miro, Kandinsky, Chagall : "je suis en symbiose avec Chagall, Miro. Il y a des images qui se fixent en moi et maintenant je m'en débarrasse. Je suis entre la figuration poétique et l'abstraction. Pour moi, les harmonies sont universelles. Je suis en quête du beau" . Et le beau est bien porté du côté de la galerie Treize, animée par André Robér.
L'indépendant 8 aout 2011

Jean-Luc Raharimanana, à mots contés, a su captiver par la lecture de ses textes, un auditoire acquis par ce talent pur.
ILLE-SUR-TET
L'atelier-galerie Treize, 13, rue Sainte-Croix, animé par André Robér, accueillait dernièrement, pour une lecture, l'écrivain et poète malgache Jean-Luc Raharimanana, et le musicien Tao Ravao.
Jean-Luc Raharimanana, à mots contés, a su captiver par la lecture de ses textes, un auditoire acquis par ce talent pur, même si l'on peut regretter l'absence des Illois.
Un délicieux moment, où l'enfant de Tananarive s'est livré, maniant le chaud et le froid. La poésie de ses textes ciselés et la souffrance qui en émane, donnant plus de force à son oeuvre. Des textes où la nuit est présente, libératrice. "La nuit tout est possible, le bien et le mal" soulignait Jean-Luc Raharimanana, qui signait en cette occasion son dernier ouvrage, "Les cauchemars du Gecko" éditions Vent d'ailleurs.
Le "peintre" des mots et des maux, était accompagné par Tao Ravao. Des textes en parfaite symbiose avec la musique de Tao, qui s'accompagnait de la "cabosse", une guitare traditionnelle de Madagascar "originaire du Yémen" expliquait-il. Mais il avait aussi sous le coude un "vali", l'instrument à cordes national malgache, d'une facture très simple, puisqu'il s'agit au départ d'un bambou, le long duquel se détachent les fibres du bambou pour obtenir 16 cordes.
L'atelier-galerie Treize, 13, rue Sainte-Croix, animé par André Robér, accueillait dernièrement, pour une lecture, l'écrivain et poète malgache Jean-Luc Raharimanana, et le musicien Tao Ravao.
Jean-Luc Raharimanana, à mots contés, a su captiver par la lecture de ses textes, un auditoire acquis par ce talent pur, même si l'on peut regretter l'absence des Illois.
Un délicieux moment, où l'enfant de Tananarive s'est livré, maniant le chaud et le froid. La poésie de ses textes ciselés et la souffrance qui en émane, donnant plus de force à son oeuvre. Des textes où la nuit est présente, libératrice. "La nuit tout est possible, le bien et le mal" soulignait Jean-Luc Raharimanana, qui signait en cette occasion son dernier ouvrage, "Les cauchemars du Gecko" éditions Vent d'ailleurs.
Le "peintre" des mots et des maux, était accompagné par Tao Ravao. Des textes en parfaite symbiose avec la musique de Tao, qui s'accompagnait de la "cabosse", une guitare traditionnelle de Madagascar "originaire du Yémen" expliquait-il. Mais il avait aussi sous le coude un "vali", l'instrument à cordes national malgache, d'une facture très simple, puisqu'il s'agit au départ d'un bambou, le long duquel se détachent les fibres du bambou pour obtenir 16 cordes.
Le jeudi 2 juin 2011 à 06h00
La galerie Treize, animée par André Robèr, présente demain le vernissage de l'exposition de peintures et dessins de Louis Arti. Samedi à 20 h 30, Louis Arti, auteur-compositeur interprète, chantera. Réservation obligatoire. Entrée : 10 euros. Cette manifestation organisée par l'association Louis Arti créations, fait la lumière sur cet artiste éclectique et complet, né en 1944. De la guerre d'Algérie aux mines de Lorraine, puis l'Allemagne, l'Angleterre, la Tunisie... Passant par les bals populaires, les stations de métro, Louis Arti compose ses chansons, ainsi que les brouillons de textes et de nouvelles, de romans, qu'il retravaillera plus tard. Auteur-compositeur interprète, plus de deux cents chants et poèmes choisis (paroles et musiques) s'inspirent de son vécu.
Ballade en terres d’artistes Exposition André Robèr Peintures Didier Manyach collages
Ballade en terres d’artistes
Exposition André Robèr Peintures Didier Manyach collages samedi 14 et dimanche 15 mai 2011 10h30 12H30 14h 18H
Vernissage vendredi 13 mai 18h Lecture André Robèr, Didier Manyach
Le samedi 21 mai 2011 à 06h00

André Robèr et Didier Manyach deux artistes éclectiques.
ILLE-SUR-TÊT L'atelier galerie « Treize " recevait dernièrement ses amis, à l'occasion du vernissage de l'exposition proposée par André Robèr (peintures) et Didier Manyach (collages), en présence des élus Janine Ponsaillé et Jérôme Parilla.
Un vernissage complété par des lectures, qui soulignent l'éclectisme de ces deux artistes atypiques.
On connaît désormais un peu mieux André Robèr, qui a réussi le pari d'installer son atelier galerie et sa maison d'édition K'A au 13, rue Sainte-Croix, dans ce qui fut autrefois une épicerie.
Il vient de publier son dernier recueil « D'île en Ille " dont il a fait la primeur d'une lecture au public, au travers d'un poème en créole « Isi ", dans la beauté et la musicalité d'une langue, qu'on n'a pas l'habitude d'entendre sur le Foirail.
Le Pradéen Didier Manyach exposait ses collages, sur le thème d'un Paris surréaliste, un véritable trait d'union avec ses écrits « Je me considère comme quelqu'un qui écrit, dans l'urgence et la nécessité. Une quête par rapport à la poésie par le collage ». Ses lectures « Remontés des fonds ", « Migrations pirateries et merveilles de grâce ", suivi d'un hommage à Hélios Gomez, étaient accompagnées musicalement par Bernard de Sao Pédro et Yvan Meynard. Un délicieux moment qui en appelle d'autres, puisque les 3 et 4 juin, l'atelier galerie Treize recevra Louis Arti, artiste peintre, dessinateur, mais encore auteur compositeur interprète.